Paysage mnémonique poursuit une réflexion sur la relation Homme/nature, en évoquant dans un langage onirique la transformation du territoire en lien à l’histoire récente du nord de l’Amérique.
Une installation et 25 dessins forment un récit visuel où chaque paysage architectural convie l’observateur à une géographie temporelle, à une histoire de lieu, à une mnémonique territoriale subjective questionnant les actions passées et présentes ayant déterminé la transformation du territoire.
La mnémonique, par définition, désigne une procédure associative pour aider la mémoire à se souvenir. Afin d’induire cette dynamique associative, facilitant la mémorisation, j’emploie, schématise et superpose des référents propres au nord de l’Amérique, tels que tipi, église, immeuble, conifère pour construire des histoires. Le propos du récit, plausible, mais subjectif, devient une opportunité pour inclure des points de vues fort personnels. Néanmoins, j’ose espérer toucher quelques vérités et susciter quelques réflexions.
Je remercie affectueusement : Denise Chevrette, Paulette Dufresne, Johanne Lapointe, Hélène Frigon, Chantal Fontaine, pour leur soutien et pour avoir patiemment taillé à l’X-Acto les entre-croix dessinés. (lire +) Chantal Tétrault pour sa précieuse aide lors du montage-essai. Jean-Guy Fournier, qui a porté à mon attention textes, livres, conférences, entrevues, films, émissions concernant l’histoire. Atelier Circulaire, pour le prêt de la Galerie Circulaire pour le montage essai. Lou-Anne Tétrault-St-onge, pour la révision des textes.